Sa tête fût mise à prix en 1837. Le gouverneur du Bas-Canada offrit une récompense de 2000 dollars pour encourager la capture d’Amury Girod et autant pour chacun des principaux chefs patriotes, tels Wolfred Nelson, Jean-Olivier Chénier, Édouard-Étienne Rodier, Thomas Storrow Brown et Jean-Joseph Girouard. On a dit beaucoup de mal de Girod et écrit beaucoup de faussetés à son sujet. L’auteur a voulu rétablir les faits et rendre justice à un homme épris des libertés démocratiques et guidé par un idéal républicain. Son étude révèle un personnage méconnu, victime de la malveillance des uns et de l’ingratitude des autres.